Lestoilettes sĂšches Separett. InstallĂ©es dans des maisons individuelles ou en plein air, les toilettes sĂšches Separett ne nĂ©cessitent ni eau ni raccordement aux rĂ©seaux. Le principe consiste Ă  sĂ©parer les fesces des urines: cela rĂ©duit la fermentation, les mauvaises odeurs, le volume et accĂ©lĂšre la dĂ©shydratation. Un systĂšme de Page2 of 4 - Des toilettes sĂšches sans sciure Ă  sĂ©paration mĂ©canique - postĂ© dans Petit coin, toilettes sĂšches et compost : La ventilation est prĂ©conisĂ©e, mais pas prĂ©vue avec le systĂšme. Dailleurs aucun dĂ©bit en vue. Quand je pense aux UnsystĂšme de toilettes qui utilise la chaleur pour sĂ©cher les matiĂšres fĂ©cales au lieu de composter les dĂ©chets est appelĂ© « toilette Ă  dĂ©shydratation ». Mais pour les systĂšmes de compostage, la matiĂšre Lestoilettes sont des toilettes sĂšches Ă  dĂ©shydratation, et l ’assainissement des eaux usĂ©es se fait par un filtre de roseaux. Le traitement des boiseries intĂ©rieures a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© avec des produits biologiques, donc neutres pour notre santĂ©. L’électricitĂ© est blindĂ©e afin d’éviter les champs Ă©lectro-magnĂ©tiques, reconnus aujourd’hui comme pouvant causer des Lessignes Ă©vocateurs d’une peau sĂšche. Une peau sĂšche est plus fragile, plus dĂ©licate. Certains signes cliniques sont d’ailleurs repĂ©rables Ă  l’Ɠil nu. Une peau sĂšche est en effet souvent plus fine. Le grain est trĂšs serrĂ© et les pores sont invisibles. Par ailleurs, la peau ne brille pas et le maquillage tient plutĂŽt bien. Vay Tiền Nhanh Chỉ Cáș§n Cmnd. Les toilettes Ă  compost sont appelĂ©es toilettes sĂšches, car elles n’ont pas besoin d’eau pour la chasse. Cela signifie que les toilettes Ă  compost sont conçues pour fonctionner indĂ©pendamment des Ă©gouts, ce qui en fait une bonne alternative pour les maisons qui ne sont pas connectĂ©es au rĂ©seau municipal. Les toilettes Ă  compost Ă©tant sĂšches, elles rĂ©duisent Ă©galement considĂ©rablement la consommation d’eau Ă  la maison. GrĂące Ă  la sĂ©paration de l’urine et des matiĂšres fĂ©cales des eaux usĂ©es, les matiĂšres organiques et les nutriments vĂ©gĂ©taux peuvent ĂȘtre recyclĂ©s par un processus de compostage et les eaux usĂ©es restantes peuvent ensuite ĂȘtre traitĂ©es plus facilement. Autrement dit, les toilettes Ă  compost sont des systĂšmes de prĂ©traitement qui retiennent des substances qui pourraient ĂȘtre nocives pour l’environnement. Les toilettes sont constituĂ©es de deux Ă©lĂ©ments principaux l’endroit oĂč un utilisateur s’assoit ou s’accroupit et un dispositif de compostage / collecte. Il peut Ă©galement ĂȘtre avantageux d’avoir un systĂšme de ventilation afin d’éloigner les mauvaises odeurs et d’augmenter l’aĂ©ration dans la chambre de compostage. Principe de fonctionnement des toilettes sĂšches Le systĂšme de toilette Ă  compost traite les excrĂ©ments et le papier hygiĂ©nique dans une chambre spĂ©ciale. Certaines toilettes Ă  compost peuvent recevoir de l’urine tandis que d’autres ne sont conçues que pour les matiĂšres fĂ©cales. Des dĂ©chets de cuisine biodĂ©gradables peuvent Ă©galement ĂȘtre ajoutĂ©s au rĂ©cipient. Un systĂšme de toilettes qui utilise la chaleur pour sĂ©cher les matiĂšres fĂ©cales au lieu de composter les dĂ©chets est appelĂ© toilette Ă  dĂ©shydratation ». Mais pour les systĂšmes de compostage, la matiĂšre organique est dĂ©gradĂ©e par les micro-organismes. Ces micro-organismes dĂ©composent les matiĂšres organiques et produisent de la chaleur, de l’eau et du dioxyde de carbone. Voici les micro-organismes qui aident Ă  atteindre cet objectif ActinomycĂštes – Ces micro-organismes sont quelque peu similaires aux moisissures et aux champignons. Leur spĂ©cialitĂ© est de dĂ©composer les matiĂšres tenaces comme les protĂ©ines, la cellulose et l’amidon. Les actinomycĂštes sont les micro-organismes qui provoquent l’odeur terreuse du compost. Champignons – La levure et les moisissures sont les principaux champignons dans les toilettes Ă  compost. Ces champignons aident Ă  dĂ©composer les dĂ©bris durs en morceaux appĂ©tant, puis les bactĂ©ries peuvent prendre le relais et dĂ©composer les morceaux dĂ©composĂ©s. BactĂ©ries aĂ©robies thermophiles – Les bactĂ©ries thermophiles sont des bactĂ©ries qui se dĂ©veloppent Ă  des tempĂ©ratures trĂšs Ă©levĂ©es. Ils sont donc adaptĂ©s pour dĂ©composer les dĂ©chets dans les toilettes Ă  compost, car la chaleur est l’un des sous-produits du processus de dĂ©composition. Dans des conditions optimales, les bactĂ©ries peuvent produire des tempĂ©ratures allant jusqu’à 50 degrĂ©s Celsius. Cela permet d’assurer une rĂ©duction rapide et substantielle des agents pathogĂšnes. Cependant, il n’est pas toujours possible d’atteindre ces conditions optimales et pour la plupart, les tempĂ©ratures sont gĂ©nĂ©ralement infĂ©rieures Ă  40 degrĂ©s. En consĂ©quence, la teneur en agents pathogĂšnes est rĂ©duite dans la chambre de compostage, mais il est parfois impossible d’éliminer complĂštement les agents pathogĂšnes. Afin de garantir une destruction complĂšte des agents pathogĂšnes, des temps de maturation plus longs seront nĂ©cessaires et cela nĂ©cessite un stockage de compostage secondaire, gĂ©nĂ©ralement Ă  l’extĂ©rieur de la chambre des toilettes. Le processus de compostage entraĂźne une rĂ©duction massive par Ă©vaporation, minĂ©ralisation et digestion. Cela permet le stockage continu des dĂ©chets dans le rĂ©servoir. Les sous-produits de ce processus sont le dioxyde de carbone, l’eau, la chaleur et le compost. Le compostage implique Ă©galement la concentration de nutriments et de sels, ce qui doit ĂȘtre pris en compte lors de son application sur le sol. L’importance des matĂ©riaux en vrac dans les toilettes sĂšches. Pour que les bactĂ©ries aient un environnement optimal dans les toilettes Ă  sĂšches, trois choses sont nĂ©cessaires AĂ©ration suffisante du matĂ©riau Teneur en humiditĂ© suffisante 50-60% Un bon rapport carbone / azote 30-35 Cependant, les excrĂ©ments et les dĂ©chets alimentaires ne peuvent Ă  eux seuls fournir ces conditions, principalement parce que la teneur en eau et en azote de ces dĂ©chets est souvent trop Ă©levĂ©e. C’est pourquoi un agent gonflant est gĂ©nĂ©ralement utilisĂ©. L’agent aide Ă  abaisser la teneur en eau afin d’amĂ©liorer l’aĂ©ration tout en augmentant en mĂȘme temps la teneur en carbone. Des exemples d’agents gonflants comprennent la sciure de bois, la cendre, les copeaux d’écorce, les copeaux de bois et les morceaux de papier. En plus d’absorber l’humiditĂ©, les agents gonflants aident Ă©galement Ă  couvrir les excrĂ©ments frais, ce qui contribue Ă  rĂ©duire les chances de reproduction des mouches sur les dĂ©chets et cela rĂ©duit finalement le risque de maladies transmissibles. Le fait de ne pas ajouter les agents gonflants peut entraĂźner le compactage des dĂ©chets, entraĂźnant ainsi des conditions humides et anaĂ©robies. Certains agents gonflants, comme les copeaux d’écorce et le tanin, peuvent lier les substances qui causent de mauvaises odeurs et ainsi rĂ©duire les odeurs des toilettes. Le chaulage des toilettes est Ă©galement recommandĂ© afin d’augmenter le pH lorsqu’il descend en dessous de 6,5. C’est parce que les bactĂ©ries ne peuvent pas fonctionner dans des conditions acides. Les agents de charge doivent ĂȘtre ajoutĂ©s aussi frĂ©quemment que possible, bien que la frĂ©quence doive ĂȘtre dĂ©terminĂ©e par l’utilisation. En moyenne, un peu de matĂ©riau gonflant doit ĂȘtre ajoutĂ© quotidiennement. Toilettes d’hygiĂšne et de compostage Tant que le compostage thermophile se produit Ă  55 degrĂ©s pendant deux semaines ou Ă  60 degrĂ©s pendant une semaine, le compost de toilette sera sans danger. Cependant, l’Organisation mondiale de la santĂ© recommande le compostage Ă  55-60 degrĂ©s pendant un mois avec 2 Ă  4 mois supplĂ©mentaires de maturation afin de garantir l’élimination des agents pathogĂšnes. Mais atteindre ces tempĂ©ratures dans les toilettes Ă  compost est plus facile Ă  dire qu’à faire. Pour cette raison, une rĂ©duction considĂ©rable des agents pathogĂšnes est obtenue dans les toilettes Ă  compost, mais la destruction complĂšte des agents pathogĂšnes n’est souvent pas possible. C’est pourquoi un compostage secondaire est nĂ©cessaire. Certaines des mĂ©thodes de traitement de compostage secondaire comprennent le stockage Ă  long terme des dĂ©chets, l’exposition aux rayons ultraviolets, les effets toxicologiques des mĂ©tabolites et un pH Ă©levĂ©. Par mesure de prĂ©caution, tout compost qui n’a pas Ă©tĂ© soumis Ă  un traitement secondaire ne doit pas ĂȘtre utilisĂ© pour l’agriculture. Les toilettes Ă  compost qui permettent l’urine ont des systĂšmes pour la collecte de l’urine dans la chambre forte. Ces cavitĂ©s urinaires produisent beaucoup de lixiviats et doivent ĂȘtre gĂ©rĂ©es avec soin pour Ă©viter la propagation d’agents pathogĂšnes. Le terme lixiviat fait rĂ©fĂ©rence au liquide supplĂ©mentaire produit dans les toilettes Ă  compost qui permettent l’urine. Le lixiviat s’accumule gĂ©nĂ©ralement Ă  partir de l’urine, de l’eau de la chasse d’eau des toilettes et de l’eau dans les cellules des micro-organismes. Ce liquide descend gĂ©nĂ©ralement dans la masse de compostage par gravitĂ©. En descendant, il capte les matĂ©riaux et les particules qui s’y dissolvent avant d’atteindre finalement le fond du composteur. En consĂ©quence, le lixiviat peut contenir des micro-organismes fĂ©caux, ce qui signifie qu’il contient des agents pathogĂšnes. La manipulation, le traitement et l’évacuation de l’excĂšs de lixiviat doivent ĂȘtre pensĂ©s dĂšs la conception de la toilette Ă  compost afin d’effectuer des prĂ©parations adĂ©quates. Les toilettes Ă  compost doivent Ă©galement ĂȘtre ventilĂ©es afin d’amĂ©liorer l’aĂ©ration ainsi que l’évaporation de tout excĂšs d’humiditĂ© dans le tas de compostage. La ventilation aide Ă©galement Ă  Ă©liminer les mauvaises odeurs grĂące au contrĂŽle des odeurs par pression nĂ©gative. Dans un scĂ©nario idĂ©al, un ventilateur Ă©lectrique avec contrĂŽle de vitesse est utilisĂ© pour trouver un Ă©quilibre entre le confort et le contrĂŽle des odeurs. Mais il est Ă©galement possible d’utiliser des ventilateurs Ă©oliens et solaires pour atteindre le mĂȘme objectif, mĂȘme si ces ventilateurs sont moins contrĂŽlables. Il est Ă©galement trĂšs important d’installer des moustiquaires sur les tuyaux de ventilation. Conclusion Étant donnĂ© que les toilettes Ă  sĂšches utilisent une approche d’assainissement Ă  sec, elles peuvent ĂȘtre utiles dans les rĂ©gions arides et les rĂ©gions dĂ©pourvues d’eau courante. Le fait que les toilettes Ă  compost peuvent ĂȘtre construites facilement ou avec des capacitĂ©s avancĂ©es les rend Ă©galement applicables Ă  presque tous les groupes de personnes. Cependant, il est impĂ©ratif que l’utilisateur assume la responsabilitĂ© de l’entretien des toilettes Ă  compost. L’entretien consiste Ă  ajouter rĂ©guliĂšrement des agents gonflants et Ă  vider le seau des toilettes selon les besoins. Tant qu’elles sont bien entretenues, les toilettes Ă  compost fonctionneront efficacement sans causer de pollution. Les toilettes sĂšches se dĂ©mocratisent de plus en plus en ce moment. De plus, elles commencent Ă  ĂȘtre plus fiables. Il existe plusieurs systĂšmes permettant de rĂ©pondre Ă  diverses demandes. Cela permet de limiter la rĂ©ticence envers cette solution Ă©cologique. MĂȘme si les toilettes classiques assurent Ă  merveille leur rĂŽle, elles prĂ©sentent un certain dĂ©savantage. Cela concerne particuliĂšrement la consommation d’eau et l’augmentation de la facture d’eau. En moyenne, une personne consomme jusqu’à 14m3 d’eau en un an pour l’utilisation d’une toilette classique. Sommaire1 Les modes de fonctionnement des toilettes sĂšches2 Pourquoi recourir Ă  l’utilisation de toilette sĂšche ? 3 Comment entretenir une toilette sĂšche ? 4 OĂč installer ce dispositif ? Les modes de fonctionnement des toilettes sĂšches Les modĂšles de toilettes sĂšches Ă  sĂ©paration consistent Ă  rĂ©cupĂ©rer sĂ©parĂ©ment les matiĂšres fĂ©cales et les urines. Cela rĂ©duit considĂ©rablement la frĂ©quence de vidange et le volume des dĂ©chets. Les matiĂšres solides sont recueillies dans un rĂ©cipient pour ensuite subir une dĂ©shydratation Ă  l’aide de ventilateur. Les urines quant Ă  eux finissent leur cycle par Ă©vaporation. Mais dans certains cas, ils sont Ă©purĂ©s ou utilisĂ©s en tant que fertilisant. Il existe Ă©galement des modĂšles utilisant des sĂ©parations mĂ©caniques en utilisant un bac. Dans cette configuration les urines et les fĂšces entrent en contact donc ils nĂ©cessitent l’intervention d’un systĂšme d’assainissement classique. Les toilettes sĂšches Ă  compostage automatique requiĂšrent l’utilisation de sciure pour stopper l’évacuation des Ă©ventuelles odeurs. Cette sciure contribue Ă©galement Ă  la maturation du compost. La sciure utilisĂ©e ne doit pas provenir des bois traitĂ©s ou de bois exotique. Cela dans le but de garantir la santĂ© du compost. Le troisiĂšme type sont les toilettes sĂšches Ă  incinĂ©ration. On parle lĂ  de toilettes ultra-sĂšches car il n’y a plus d’eau, d’additif ou encore de sciure Ă  utiliser. Ce modĂšle adopte la forme des toilettes classiques mais son fonctionnement diverge complĂštement. Les dĂ©jections sont recueillies dans un sac en papier, ensuite tombĂ©es dans une chambre de combustion Ă©tanche pour finir en cendre. Quant aux liquides, ils disparaissent par Ă©vaporation. Les gaz et la chaleur provoquĂ© par la combustion sont Ă©vacuĂ©s Ă  l’extĂ©rieur grĂące Ă  un tuyau. Les cendres sont rĂ©coltĂ©es dans un cendrier installĂ© sous la cuvette des toilettes. Certains systĂšmes utilisent le gaz propane et l’électricitĂ© pour faire disparaĂźtre les dĂ©jections. MĂȘme si le modĂšle n’est pas totalement Ă©cologique comme les deux autres, il prĂ©sente plus d’avantages que les toilettes classiques qui utilisent l’eau. De plus, les cendres sont totalement stĂ©riles ce qui n’affecte pas la santĂ© du sol du jardin. Pourquoi recourir Ă  l’utilisation de toilette sĂšche ? L’eau est une ressource indispensable pour la vie sur terre. Il est donc nĂ©cessaire de prĂ©server cette ressource et de ne plus la gaspiller. On n’utilise pas l’eau de maniĂšre efficiente, entraĂźnant des problĂšmes comme Une Ă©puration lourde et trĂšs peu rentable de cette destruction de l’écosystĂšme causĂ© par l’excĂšs de nitrates et de phosphate. Diminution de la qualitĂ© du sol qui donne place Ă  l’utilisation des engrais chimiques coĂ»teux et difficiles Ă  produire. C’est pour remĂ©dier Ă  cela qu’entre en jeu le systĂšme des toilettes sĂšches. Ces types toilettes ne nĂ©cessitent pas l’utilisation de cette ressource prĂ©cieuse qu’est l’eau. De plus, le compostage automatique redonne des nutriments au sol. Ce systĂšme est donc Ă  la fois Ă©conomique et Ă©cologique. De plus, les toilettes sĂšches prĂ©sentent d’autres avantages comme Une installation facile car elles n’ont pas besoin d’arrivĂ©e d’eau, ni de canalisation d’ risque de propagation d’odeur. Dans le cas contraire, la dĂ©faillance peut venir du compostage mal possibilitĂ© de confectionner soi-mĂȘme ses propres toilettes sĂšches. L’entretien des toilettes sĂšches doit se faire rĂ©guliĂšrement. Cela est considĂ©rĂ© comme le point le plus dĂ©savantageux de cette pratique. Il faut penser Ă  toujours recouvrir les dĂ©jections par des matiĂšres sĂšches suffisantes ; Ă  faire la vidange du rĂ©cipient et faire le lavage de ce dernier. Le contenu peut servir ensuite pour le compostage. ÉtalĂ© avec les dĂ©chets alimentaires puis recouvert de matiĂšres carbonĂ©es, ce compost devient ensuite un engrais naturel gratuit. Pour ceux qui vivent dans une ville, il existe des solutions de substitution au compostage. Pour avoir des toilettes sĂšches optimales, il faut Ă©viter ces quelques erreurs comme Une mauvaise installation, cela concerne avant tout la dimension du caisson. Cela a pour but de garantir que l’installation supporte le poids de l’ aire de compost mal optimisĂ©e ; il faut que cet espace soit facile d’accĂšs pour la l’entretien des toilettes peut causer des problĂšmes d’ordre sanitaire. Le nettoyage du rĂ©cipient et la vidange doivent se faire rĂ©guliĂšrement. OĂč installer ce dispositif ? Les toilettes sĂšches du type TBL s’installent n’importe oĂč, que ce soit Ă  l’intĂ©rieur ou Ă  l’extĂ©rieur, dans la salle de bain ou encore dans les toilettes classiques. Ce modĂšle ne nĂ©cessite pas de raccord avec un systĂšme d’évacuation. De plus, il y a des dĂ©clinaisons plus lĂ©gĂšres et transportables n’importe oĂč. Les toilettes sĂšches Ă  sĂ©paration, quant Ă  elles, doivent ĂȘtre reliĂ©es Ă  un rĂ©seau d’évacuation des urines. Ce modĂšle est donc Ă  fixer Ă  un endroit prĂ©cis. Il existe d’autres systĂšmes avec deux containers Ă  placer au sous-sol. Cette configuration permet de se passer des tuyaux d’évacuation. Il est Ă©galement possible de transformer les toilettes classiques en toilettes sĂšches. Pour ce faire, il faut couper l’alimentation en eau des toilettes. Il est Ă©galement indispensable de dĂ©boulonner les fixations de la toilette. Pour enlever la cuvette, il faut se rĂ©fĂ©rer au mode d’installation de cette derniĂšre. Une fois la fixation dĂ©faite, il est temps de s’occuper de l’évacuation. Pour ce faire, bouchonner le rĂ©seau d’évacuation avec un bouchon de diamĂštre 100. Si le tuyau d’évacuation prend beaucoup de place, il est nĂ©cessaire de le couper et ensuite mettre le bouchon. AprĂšs ces Ă©tapes, il ne reste plus qu’à mettre en place les toilettes sĂšches que vous venez de vous procurer. Les toilettes sĂšches, est-ce le passĂ© ou le futur ? Pour en savoir plus, j’ai interviewĂ©, lors du salon Marjolaine, le concepteur de toilettes sĂšches Dominique de la sociĂ©tĂ© MADOM. Il nous en dit plus sur le fonctionnement et sur les erreurs de jugement qu’on peut faire sur les toilettes sĂšches. Philippe Raynaud, Ecolozen je suis avec Dominique de la sociĂ©tĂ© MADOM qui fait des toilettes sĂšches. Pour avoir discutĂ© houleusement avec ma compagne qui m’a dit Si tu installes des toilettes sĂšches Ă  la maison, je te quitte », parlons-en 🙂 est-ce que ça sent mauvais ? Est-ce que c’est sal ? Personnellement je suis entrĂ© dans ces toilettes sĂšches et je trouve que ça ne sent rien
 Mais demandons surtout Ă  Dominique le fonctionnement. Dominique, MADOM le principe des toilettes sĂšches et le fait qu’il n’y ait pas d’odeur s’explique par le fait qu’on rajoute des copeaux sur les excrĂ©ments. Les excrĂ©ments Ă©tant riches en azote, quand on ajoute des copeaux de bois qui sont riches en carbone, on instaure une combinaison entre le carbone et l’azote qui empĂȘche les odeurs, puisque les odeurs proviennent de la dĂ©gradation de l’azote qui va passer par des stades comme l’ammoniac – qu’on connaĂźt bien et qui sent mauvais. Donc, on n’a pas d’odeur, ce qui s’explique d’une façon chimique mais [NDLR due Ă  la dĂ©gradation] naturelle. PR aprĂšs, que fait-on du mĂ©lange d’excrĂ©ments et de copeaux de bois ? DM les dĂ©chets de toilettes sĂšches vont ĂȘtre transformĂ©s en compost puisque lorsqu’on rĂ©cupĂšre ce qu’on produit dans les toilettes sĂšches, et qu’on les met dans des composteurs. Au bout de 2 Ă  3 ans, on pourra avoir un compost qui est le fruit du travail de milliards de bactĂ©ries ainsi que d’insectes et de crustacĂ©s, mĂȘmes, car les cloportes, qui sont des crustacĂ©s, interviennent Ă©galement dans le processus. Ce compost qu’on va obtenir sera dĂ©barrassĂ© des bactĂ©ries, des virus, des molĂ©cules chimiques, des hormones
 Tout ce qu’on peut rejeter dans les toilettes, puisque ce processus de compostage, qui est extrĂȘmement complexe, va rĂ©duire Ă  nĂ©ant tous ces effets indĂ©sirables qu’on pourrait redouter de trouver dans le compost. On pourra donc rĂ©utiliser ce compost dans son jardin en toute sĂ©curitĂ©. PR comment se passe concrĂštement la gestion des dĂ©chets ? On a un Ă©norme seau en dessous des toilettes, pour les stocker ? Du coup, faut-il vider ce seau ailleurs ou on le remplit pendant deux ans ? DM on rĂ©cupĂšre les dĂ©chets des toilettes dans un bac de rĂ©cupĂ©ration. Lorsque ce bac est plein, on le vide dans le composteur. Effectivement, on pourrait se passer de composteur et jeter ses dĂ©chets dans la poubelle mais le concept mĂȘme des toilettes sĂšches inclut la refabrication d’un compost qui nous permet de rĂ©introduire dans la terre tous les Ă©lĂ©ments qu’on a retirĂ©s de la terre pour se nourrir. Ainsi, la boucle est bouclĂ©e, on prend Ă  la terre pour se nourrir, et on remet Ă  la terre de la nourriture pour qu’elle mĂȘme puisse nous nourrir Ă  nouveau. PR ce genre de toilettes se trouve seulement Ă  l’extĂ©rieur ou on peut en installer dans une maison ? DM oui, bien sĂ»r, on a toute une gamme qu’on peut installer Ă  l’intĂ©rieur, ce sont des modĂšles diffĂ©rents de ceux d’extĂ©rieur. Les modĂšles d’intĂ©rieur sont vraiment dimensionnĂ©s pour fonctionner en intĂ©rieur, cependant le fonctionnement reste le mĂȘme, il faut remettre des copeaux sur les excrĂ©ments et les rĂ©cupĂ©rer par le bias d’un seau beaucoup plus petit et les mettre dans le composteur. Il y a plusieurs modĂšles qu’on peut dĂ©corer soi-mĂȘme avec plusieurs niveaux de confort et de taille. En savoir plus sur les toilettes MADOM Depuis longtemps en France, les toilettes sĂšches sont victimes d’idĂ©es reçues, sur les odeurs gĂ©nĂ©rĂ©es et sur leur cĂŽtĂ© un brin spartiate et dĂ©calĂ©, le pot de sciure et de copeaux de bois en figure de proue d’un anachronisme sanitaire. Il est vrai que les rĂ©ticences sont nombreuses mĂȘme pour les plus Ă©colos. Et pourtant, Ă  dĂ©faut d’anachronisme, les toilettes sĂšches seraient plutĂŽt une solution d’avenir. Jean-Louis Busquet L’arrĂȘtĂ© du 7 septembre 2009 voir encadrĂ© fixe ainsi les prescriptions techniques applicables aux installations d’assainissement et notamment des toilettes sĂšches. Pour l’heure, cet arrĂȘtĂ© ne concerne que le non collectif mais cette avancĂ©e est significative d’une volontĂ© de l’administration d’encadrer de tels procĂ©dĂ©s. Et de l’ouvrir peu Ă  peu vers le collectif toujours soumis Ă  des dĂ©rogations municipales ! Pour crĂ©er des toilettes sĂšches dans un camping, il est en effet nĂ©cessaire d’avoir l’accord des mairies car les dĂ©jections doivent obligatoirement passĂ©es par l’assainissement. L’intĂ©rĂȘt pour les municipalitĂ©s avec ce type de toilettes est qu’elles rĂ©duisent le volume des eaux noires lourdes et chĂšres Ă  traiter. L’usage des toilettes sĂšches est d’ailleurs trĂšs pertinent dans les communes du bord de mer, sans relief ni Ă©vacuation, qui ont d’énormes problĂšmes d’épuration. C’est un bon argument pour convaincre les municipalitĂ©s » avance un professionnel En SuĂšde, les toilettes sĂšches sont vĂ©ritablement entrĂ©es dans les mƓurs depuis prĂšs d’un demi-siĂšcle. À tel point que les permis de construire ne sont dĂ©livrĂ©s que si les maisons en sont Ă©quipĂ©es. Le fameux Ă©tat d’esprit scandinave tournĂ© vers la protection de la planĂšte ! Des dĂ©jections comme autant de cadeaux Car c’est un fait, les toilettes sĂšches ont un indĂ©niable effet positif sur l’environnement. Dans l’esprit des Ă©cologistes purs et durs, elles permettent de rendre Ă  la terre ce qu’elle nous a donnĂ©. Les toilettes sĂšches Ă  compostage permettent de reconstituer la biomasse Ă  travers les apports redonnĂ©s Ă  la terre. Les clients des campings qui vont aux toilettes apportent un cadeau, une ressource et surtout pas un dĂ©chet. Telle est la vocation premiĂšre des toilettes sĂšches. C’est comme cela qu’il faut le voir » assure Marc Donald Howie, gĂ©rant de la sociĂ©tĂ© audoise Ecolette qui conçoit des toilettes sĂšches. Autres avantages incontestables les Ă©conomies d’eau. Comme leur nom l’indique, les toilettes sĂšches n’utilisent pas d’eau. Il faut ainsi savoir que prĂšs de 20% de la consommation d’eau d’une famille rĂ©sultent de la consommation d’eau aux toilettes, Ă  coup de trois litres par ci ou six litres par lĂ . Par ailleurs, les selles se dĂ©composent difficilement dans l’eau et nĂ©cessitent des traitements lourds. Enfin, dernier point, les toilettes sĂšches ne gĂ©nĂšrent aucun bruit et prĂ©serve une forme de sĂ©rĂ©nitĂ© en pleine nature. Le concept toilettes sĂšches stimulĂ© par l’arrĂȘtĂ© du 7 septembre 2009 est donc en ce moment en pleine Ă©volution. Et de nombreux fabricants tentent de faire justement Ă©voluer le produit toilettes sĂšches en direction du collectif et autant dire que les campings, symboles du tourisme nature par excellence, reprĂ©sentent une cible privilĂ©giĂ©e. La sociĂ©tĂ© Label Verte est ainsi en train d’étudier un module douche avec procĂ©dĂ© d’eau chaude solaire couplĂ© avec des toilettes sĂšches. Nous recherchons le systĂšme le plus simple et le plus efficace qui puisse s’adapter aux hĂŽtelleries de plein air. Nous devons limiter au maximum les contraintes afin d’éviter un surcroĂźt de travail rĂ©dhibitoire aux hĂŽteliers de plein air. Tout en proposant un produit performant » analyse Nathalie Labarre. Alors justement, quels sont aujourd’hui les procĂ©dĂ©s qui sĂ©vissent sur le marchĂ© ? Et quels sont surtout ceux qui seraient susceptibles d’intĂ©resser d’ores et dĂ©jĂ  les gestionnaires de camping ? Toilettes sĂšches ou l’art du compostage Le systĂšme le plus connu de toilettes sĂšches est dit systĂšme Ă  litiĂšre bio maĂźtrisĂ©e LBM Ă  compostage externe. C’est le plus Ă©cologique de tous. Il consiste Ă  mĂ©langer aux matiĂšres organiques selles et urine et au papier, un broyat de vĂ©gĂ©taux secs tels que des copeaux, de la sciure de bois ou de la cendre, de façon Ă  obtenir un Ă©quilibre carbone/azote dans le mĂ©lange et Ă  bloquer la fermentation anaĂ©robie. Objectif dĂ©marrer le compostage. L’absence d’odeur dĂ©pend de l’humiditĂ© du mĂ©lange, un excĂšs entraĂźnant une dĂ©composition anaĂ©robie et malodorante. Lorsque le mĂ©lange est stockĂ© dans un grand seau, le systĂšme induit une collecte rĂ©guliĂšre. Le seau doit ĂȘtre vidĂ© rĂ©guliĂšrement sur une aire de compostage. Disposer de telles toilettes sĂšches veut dire qu’il faut apprendre l’art du compostage afin de valoriser les dĂ©chets » reconnaĂźt Marc Donald Howie. ProblĂšme la plupart des gĂ©rants de campings ont d’autres chats Ă  fouetter en saison. Pour se faire, Ecolette propose un systĂšme un peu semblable mais Ă  dĂ©faut de seau et de transfert vers une aire de compostage, il a dĂ©veloppĂ© des toilettes sĂšches doublĂ©es d’un compostage in situ avec un volume de stockage Ă©valuĂ© en fonction de la frĂ©quentation. Une façon d’éviter les aller et retours incessants entre les toilettes et l’aire de compostage. A la fin de saison, on recouvre tout cela de paille afin de crĂ©er du compost. DĂšs le printemps venu, avant la saison, on vide l’aire de stockage pour Ă©pandre le compost dans les espaces verts » poursuit Marc Howie qui insiste sur le cĂŽtĂ© trĂšs Ă©cologique du procĂ©dĂ©. Un gĂźte des CorbiĂšres utilise ce systĂšme et dispose de trois toilettes, ventilĂ©es, avec compostage in situ. Reste que le systĂšme demeure encore un tantinet fastidieux avec l’approvisionnement en sciure et le stockage Ă  proximitĂ© des toilettes. Les systĂšmes Ă  sĂ©paration Les autres systĂšmes que l’on rencontre dans ce marchĂ© des toilettes sĂšches repose sur la sĂ©paration des selles et des urines. Jean-Jacques Tournon de la sociĂ©tĂ© Separett qui va sortir trĂšs prochainement un produit pour les collectivitĂ©s et les campings, explique Sur les 1,4 kilos de dĂ©chets que nous produisons quotidiennement, l’urine constitue le plus gros volume soit plus de un kilo. Si l’on sĂ©pare l’urine des selles, les vidanges seront ainsi plus espacĂ©es ». Que faire de l’urine ? Plusieurs possibilitĂ©s. En faible quantitĂ©, elles peuvent ĂȘtre Ă©vacuĂ©es avec les eaux grises douches et lavabos ou, diluĂ©es Ă  10%, elles peuvent servir pour arroser les jardins. C’est un excellent engrais. En grande quantitĂ©, elles doivent subir un assainissement en bonne et due forme. Pour les matiĂšres fĂ©cales, elles pourront ĂȘtre valorisĂ©es comme sources d’énergie dans des chaudiĂšres ou ĂȘtre traitĂ©es par lombricompostage. Les lombrics transforment trĂšs rapidement les matiĂšres fĂ©cales et en rĂ©duisent le volume de maniĂšre trĂšs considĂ©rable. Ces procĂ©dĂ©s qui nĂ©cessitent moins de contraintes sont bien entendu moins Ă©cologiques que la litiĂšre bio maĂźtrisĂ©e car ils valorisent moins les dĂ©chets. Cependant, la facilitĂ© d’utilisation plaide pour ces systĂšmes. La sociĂ©tĂ© Label Verte penche ainsi plus volontiers pour un systĂšme Ă  sĂ©paration pour son concept de module/toilettes pour les campings. Les toilettes sĂšches Ă  dĂ©shydratation Un autre systĂšme de toilettes sĂšches a aujourd’hui le vent en poupe. Il s’agit du compostage neutre par dĂ©shydratation. En France, la sociĂ©tĂ© Kazuba en maĂźtrise le fonctionnement. Le produit a Ă©tĂ© inventĂ© en Afrique du Sud en 1995 afin d’éliminer les pathogĂšnes qui se rĂ©pandaient Ă  vitesse grand V dans la nature. Depuis, 35 000 toilettes sĂšches Ă  dĂ©shydratation y ont Ă©tĂ© installĂ©es. Comment ça marche ? SĂ©bastien Flamen directeur technique de Kazuba nous donne les clĂ©s du systĂšme Le procĂ©dĂ© est simple. Vous avez une cuve Ă©tanche dotĂ©e d’une plaque et d’une cuvette en cĂ©ramique avec un trou de 22 centimĂštres, un peu comme Ă  la maison. Les matiĂšres fĂ©cales et le papier sont rĂ©cupĂ©rĂ©s sur la plaque pendant que l’urine tombe au fond de la cuve. Ensuite, tout est question d’orientation du module au Sud pour l’énergie solaire et de ventilation. Nos modules sont ainsi dotĂ©s de grandes cheminĂ©es, des extracteurs qui crĂ©ent un courant d’air continu avec le vent. Le systĂšme Ă©vapore les liquides et sĂšche les matiĂšres fĂ©cales sans odeur ni pourrissement. Nous ne rĂ©cupĂ©rons pas de compost mais de la matiĂšre dĂ©shydratĂ©e ». Une fois dĂ©shydratĂ©s les excrĂ©ments forment un dĂ©chet neutre qu’il faut Ă©vacuer rĂ©guliĂšrement aprĂšs quelques mois Ă  plusieurs annĂ©es selon l’utilisation puis traitĂ© en fonction des rĂšgles d’assainissement locales. Dans ce systĂšme, les dĂ©chets sont Ă©liminĂ©s sans valeur ajoutĂ©e Ă©cologique en terme de biomasse. Au rayon positif bien sĂ»r les Ă©conomies d’eau. Le zoo de Montpellier utilise ces toilettes Kazuba. Chaque toilette peut recevoir jusqu’à 15 000 visiteurs par an avec un gros entretien lĂ  aussi annuel. Les modules Kazuba peuvent ĂȘtre livrĂ©s avec des urinoirs secs branchĂ©s sur la cuve. Il est bien Ă©vident que le systĂšme par dĂ©shydratation dĂ©pend du taux d’évaporation et des conditions climatiques. En moyenne, et grĂące aux cinq cents litres de stock, chaque toilette peut recevoir environ 150 personnes par jour » affirme SĂ©bastien Flamen dont le systĂšme a dĂ©jĂ  sĂ©duit un gĂ©rant de camping. La Cascade pour des toilettes sans eau À la Cascade en LozĂšre, Marie-HĂ©lĂšne Causse vient, cette annĂ©e, de franchir le pas des toilettes sĂšches. Une dĂ©marche forte autour de la clĂ© verte et du label europĂ©en ! » dit-elle. Cette femme de conviction vient d’agrandir son Ă©tablissement. Sur la partie de terrain nouvellement annexĂ©e, elle a donc optĂ© pour des toilettes sĂšches. AprĂšs les dĂ©marches administratives, elle s’est penchĂ©e sur l’équipementier le plus pertinent pour elle. Nous sommes allĂ©s au zoo de Montpellier avant et aprĂšs la saison. Nous avons Ă©tĂ© sĂ©duits par le procĂ©dĂ© Kazuba et son rapport qualitĂ©/prix. Et puis surtout, tout est simple, sans dĂ©chet. Nous allons rĂ©aliser des Ă©conomies d’eau substantielles. Nous n’avons pas Ă  faire de fosse ou des travaux de raccordement coĂ»teux. Seulement un petit point d’eau pour le lavage des mains » confie Marie-HĂ©lĂšne Causse. Le camping la Cascade compte une cinquantaine d’emplacements. Normalement, avec la dĂ©shydratation, un entretien annuel voire tous les deux ans est largement suffisant. Nous avons Ă©tudiĂ© les procĂ©dĂ©s Ă  litiĂšre bio maĂźtrisĂ©e mais nous n’avons pas Ă©tĂ© convaincus. L’intĂ©rĂȘt du concept de Kazuba est avant tout sa simplicitĂ© » reconnaĂźt la chef d’entreprise. On l’aura compris, les toilettes sĂšches sont dans l’air du temps, celui du Grenelle et de Copenhague. Mais les contraintes gĂ©nĂ©rĂ©es par les toilettes sĂšches Ă  compostage sur litiĂšre bio maĂźtrisĂ©e, les plus Ă©cologiques, semblent ĂȘtre difficiles Ă  surmonter pour une hĂŽtellerie de plein air en pleine saison. Entre approvisionnement en sciure et entretien du compost. Les systĂšmes Ă  sĂ©paration en plein dĂ©veloppement peuvent ĂȘtre des alternatives crĂ©dibles alors que les procĂ©dĂ©s Ă  dĂ©shydratation Ă  faible impact sur la reconstitution de la biomasse commencent Ă  faire leur preuve car peu coĂ»teux et simples d’utilisation. Dans le rapport bien-ĂȘtre de la planĂšte et principe de rĂ©alitĂ© quotidienne des hĂŽteliers de plein air, il faut parfois se faire une raison et se dire que le mieux peut-ĂȘtre l’ennemi du bien ! Un arrĂȘtĂ© qui fixe un cadre Le texte de l’arrĂȘtĂ© du 7 septembre 2009 fixant les prescriptions techniques applicables aux installations d’assainissement non collectif SECTION 5 CAS PARTICULIER DES TOILETTES SECHES Art. 17 Par dĂ©rogation Ă  l’article 3, les toilettes dites sĂšches sans apport d’eau de dilution ou de transport sont autorisĂ©es, Ă  la condition qu’elles ne gĂ©nĂšrent aucune nuisance pour le voisinage ni rejet liquide en dehors de la parcelle, ni pollution des eaux superficielles ou souterraines. Les toilettes sĂšches sont mises en Ɠuvre – soit pour traiter en commun les urines et les fĂšces. Dans ce cas, ils sont mĂ©langĂ©s Ă  un matĂ©riau organique pour produire un compost ; – soit pour traiter les fĂšces par sĂ©chage. Dans ce cas, les urines doivent rejoindre la filiĂšre de traitement prĂ©vue pour les eaux mĂ©nagĂšres, conforme aux dispositions des articles 6 et 7. Les toilettes sĂšches sont composĂ©es d’une cuve Ă©tanche recevant les fĂšces ou les urines. La cuve est rĂ©guliĂšrement vidĂ©e sur une aire Ă©tanche conçue de façon Ă  Ă©viter tout Ă©coulement et Ă  l’abri des intempĂ©ries. Les sous-produits issus de l’utilisation de toilettes sĂšches doivent ĂȘtre valorisĂ©s sur la parcelle et ne gĂ©nĂ©rer aucune nuisance pour le voisinage, ni pollution. MatĂ©riaux de construction Plomberie Sanitaire Appareils sanitaires WC et accessoires Toilettes sĂšches Toilettes sĂšches Ă  Ă©vaporation et dĂ©shydratation naturelle Enviroloo 2010 Produits Kazuba Produit vert EtudiĂ© par la rĂ©daction Toilettes sĂšches Ă  Ă©vaporation et dĂ©shydratation naturelle Enviroloo 2010 Kazuba Recevoir de la Documentation Demander un devis contacter le fabricant Toilettes sĂšches Date de commercialisation 01/10/2006 CaractĂ©ristiques principales Toilettes sĂšches intĂ©rieures utilisant le soleil et le vent pour Ă©vaporer, dĂ©shydrater et rĂ©duire les effluents en matiĂšre hygiĂ©nique inodore Ă  composter. AdaptĂ©es Ă  la maison individuelle ou aux Ă©quipements de plein air. ComposĂ©es d'une cuve de stockage et de sĂ©chage Ă  fond filtrant inclinĂ©, en polyĂ©thylĂšne basse densitĂ© traitĂ© anti-UV, d'une cheminĂ©e de ventilation avec accĂ©lĂ©rateur et d'une cuvette en cĂ©ramique ou en polyĂ©thylĂšne. Installation partiellement enterrĂ©e en façade sud, est, ouest et sous les fondations Ă  l'emplacement des WC. Fonctionne sans raccordement aux rĂ©seaux eau, Ă©lectricitĂ©, etc.. Pour un usage quotidien de dix personnes avec un ou deux entretiens annuels, selon frĂ©quence d'utilisation. Fiche technique Enviroloo 2010 Couleur et finition Couleur ; gris ; noir ; gris-noir Dimensions Longueur L x p x h 197 x 95 x 171 cm. Divers ComplĂ©ments de gamme cabine autonome KL1 pour installation libre; modĂšle pour usage intensif public Enviroloo 2040 avec cabine KL2 avec pose en batterie possible. Mise en Ɠuvre Mise en oeuvre enterrement de la section infĂ©rieure du bloc de stockage dans un trou de 3 x 2 m sur 1 m de profondeur, avec ou sans systĂšme d'ancrage fourni selon les caractĂ©ristiques du sol. Autres caractĂ©ristiques techniques du produit Type d'usage individuel Famille d'ouvrage AmĂ©nagement urbain Culture-Sport-Loisirs Maison individuelle Avis sur le produit Enviroloo 2010Donner votre avis Aucun avis n’a encore Ă©tĂ© dĂ©posĂ©. Soyez le premier Ă  donner votre avis. Les internautes ont Ă©galement consultĂ© sur la catĂ©gorie Toilettes sĂšches Retrouvez tous les produits de la catĂ©gorie Toilettes sĂšchesConsultez Ă©galement Toilettes sĂšches TROUVEZ DES FABRICANTS ET DES PRODUITS Besoin d’aide pour trouver vos produits ?Faites appel Ă  nos experts ! DĂ©poser votre demande

les toilettes sÚches à évaporation et déshydratation